dimanche 6 décembre 2009

Mini-Essai 2

Ce texte est le contre-pied du mini-essai 1 de Anne-Marie Delisle, qui abordait le sujet de la technologie des téléphones mobiles et toutes les autres technologies en lien avec celui-ci, soit le bluetooth ainsi que le Short message service (SMS). La technologie du téléphone mobile peut se résumer assez simplement. « Un téléphone mobile, permet de communiquer par téléphone sans être relié par câble à une centrale. Les sons sont transmis par des ondes électromagnétiques dans un réseau spécifique. On peut donc communiquer de tout lieu où une antenne de relais capte les émissions de l'appareil utilisé » (Techno-science). On peut également ajouter à la fonction « parler » celles de « texter », naviguer sur Internet, écouter de la musique et bien d’autres encore. Selon le téléphone utilisé, certaines fonctions peuvent s’appliquer, d’autres pas, comme la technologie Bluetooth, qui ne fonctionne pas sur tous les téléphones. Cependant, nous retrouvons l’envoi possible de message texte (SMS), qui sont de courts messages envoyés d’un portable à un autre, sur la plupart des téléphones mobiles.

En 2007, plus de 4,5 millions de citoyens de 18 ans et plus possédaient un téléphone cellulaire. Ce qui nous amène à dire qu’une importante partie de la communauté se sert de cette technologie sur une base très fréquente et cette partie ne cessera d’augmenter dans les prochaines années.

Dans son essai, ma collègue ne semble parler que des biens faits du téléphone mobile. On pourrait presque entendre des louanges de la téléphonie mobile. Bien sûr, celui-ci est très pratique pour maintes et maintes raisons. Pouvoir téléphoner et prendre ses courriels lorsque nous sommes à l’extérieur de la maison, du bureau ou même de la ville peut être bien pratique. Cependant, il faut garder en tête que, comme toutes les technologies qui existent présentement, la téléphonie mobile à ses limites et apporte également sa part de dangers pour les citoyens.
Anne-Marie n’a tout d’abord pas parlé des coûts reliés à l’utilisation. En effet, lors de signature de contrat avec une compagnie de cellulaire, il est relativement fréquent de voir les utilisateurs devoir payer des frais cachés. Situation plutôt indésirable, surtout lorsque l’on regarde du côté des étudiants, qui s’endettent déjà beaucoup avec les frais de scolarité, faut-il tenter de leur faire payer des frais cachés en plus de leur facture mensuelle qui souvent se trouve déjà assez élevée. D’ailleurs, en 2007, un recours collectif a été accepté par la cour de Régine en Alberta contre les Big3 (Bell, Telus, Rogers) pour des frais cachés. (Hou-Hou Blogue, 2007) La pratique des frais cachés est la plupart du temps appliquée dans les compagnies de téléphonie mobile. Il est donc important de poser les questions sur des frais dont on ignore la provenance lorsque nous recevons notre facture hebdomadaire.

Un autre point qu’Anne-Marie n’a pas mentionné, l’individualisme que cela provoque, le manque d’interactions interpersonnelles que cela peut éventuellement provoquer. Avec l’arrivée des messages textes, on peut parler à quelqu’un sans vraiment lui parler, sans entendre sa voix. Les gens n’ont même plus besoin de se parler, ils s’écrivent. À titre d’exemple, nous n’avons qu’à regarder du côté de la Chine ou du Japon, où la société, plus avancée technologiquement, ne jure que par son téléphone portable. Tous comme des robots, ils dévalent dans les rues les yeux rivés sur les écrans de leurs cellulaires, ne regardant rien ni personne autour.

Le respect est quelque chose d’important dans une société. Celui-ci s’applique également lors de l’utilisation du cellulaire, ce dont ma collègue a omis de parler dans son texte. Il va de soi qu’interrompre une conversation pour répondre au téléphone avec quelqu’un est un geste d’impolitesse, de non-respect envers la personne avec qui nous avions une conversation. De plus, son utilisation dans les cours, surtout au cégep ainsi qu’à l’université, est également une marque de non-respect. Répondre pendant qu’un professeur donne le cours en avant est irrespectueux pour le prof en question, mais également pour tous les étudiants autour qui vont éteint leur propre cellulaire et qui voudraient bien suivre le cours pour lequel ils ont payé.

Puis, d’un point de vue plus sociétaire (point de vue que ma collègue n’a pas abordé dans son essai), demandons-nous si l’utilisation du cellulaire peut être quelque part, un danger public? Les gens sont tellement devenus accros à leur cellulaire, qu’ils répondent à leurs appels, effectuent des appels et même, envoient des SMS en conduisant. Ce qui provoque de nombreux accidents, causant la mort de plusieurs personnes. Le fait que la sûreté du Québec fût obligée de réglementer son utilisation au volant, et de distribuer des contraventions pour son utilisation malgré la loi, n’est-ce pas un signe? Ne devons-nous pas nous interroger sur la place réelle que possède la téléphonie mobile dans notre société?

Cependant, la majorité du public ne semble pas touché par ces points.L’opinion du public vient des nombreux blogues que nous pouvons visiter sur Internet. Quoi de mieux pour tâter le pouls d’une société au courant des technologies? Cela dit, les blogueurs et les participants de ces blogues semblent pour la plupart manifester le même désaccord avec les lois concernant l’utilisation des cellulaires. « ’ J'avoue que le cellulaire est source de distraction. Mais à ce compte-là, on devrait interdire aux parents de transporter leurs enfants à bord de leur voiture ou aux jeunes hommes d'avoir une jolie jeune femme à leur côté en voiture : tout cela est aussi source d'intense distraction… »’ (Le québécois libre, 2007) Il s’agit ici du meilleur exemple de tout ce que nous pouvons retrouver sur ces blogues. Les mêmes arguments reviennent sans cesse, nous pouvons trouver sur la toile une quantité impressionnante de blogues où le sujet de la téléphonie mobile est abordé et en majorité, la téléphonie mobile est déclarée comme la technologie du siècle. Selon les blogueurs, l’interdiction des téléphones en cours et au volant n’est pas acceptable, ce serait comme de brimer les gens dans leur liberté. Malgré tout cela, un sondage fait en 2007 révélait que 95% des gens croyaient que l’utilisation du cellulaire au volant devait être réglementée, dont 46 % croyait que son utilisation devait être interdite complètement(Healthy Public Policy). Pourquoi cela semble-t-il avoir changé ?

Dans le domaine des communications publiques, le téléphone peut bien sûr être un atout. Qu’il s’agissent de publicité, de base de données de numéro de téléphone pour joindre des gens afin de leur faire part d’une promotion, d’un évènement quelconque. Il existe maintes façons de joindre les gens sur leur cellulaire. En majorité, il s’agit de faire une publicité précise, qui incitera les gens à téléphoner en leur présentant quelque chose d’intéressant pour leur cellulaire, par exemple une sonnerie à la radio, sur Internet ou encore à la télévision. Une fois que l’utilisateur du téléphone mobile a appelé, son numéro est dans la base de données de la compagnie ayant fait la publicité. C’est le cas de Sympatico, qui lui vend des fonds d’écran, des sonneries, des jeux, etc., le tout, moyennant bien sûr un prix. Qui n’est pas si moindre que cela. Qui paierait 3.50 $ pour une sonnerie? Beaucoup plus de gens que nous pouvons penser. Et c’est donc par la suite que ces mêmes personnes sont contactées et se voient offrir des produits Sympatico ou tout autre produit en lien avec la compagnie en question.

En conclusion, bien que le problème soit en voie d’être réglé, il y a un certain manque, au niveau de la disponibilité des réseaux pour la téléphonie mobile. Il s’agit de fracture numérique qui peut être définie de la façon suivante : « La fracture numérique est la disparité d'accès aux technologies informatiques, notamment Internet. Cette disparité est fortement marquée d'une part entre les pays riches et les pays pauvres, d'autre part entre les zones urbaines denses et les zones rurales. […] La fracture numérique concerne les inégalités dans l'usage et l'accès aux technologies de l'information et de la communication (TIC) comme les téléphones portables, l'ordinateur ou le réseau Internet. La fracture numérique ne représente donc qu'une toute petite partie de l'ensemble des inégalités de développement. On parle parfois aussi de fossé numérique»(Wikipédia) Certains endroits au Québec ne sont pas encore desservis par le service de téléphonie mobile, pas plus que par le service Internet. Les communications pour ces personnes deviendraient plus accessibles et plus facile s’ils avaient accès aux services. Cela éviterait également l’isolement, puisque ces endroits sont parfois en forêt, ou encore dans le Nord du Québec. Il serait également pratique de penser à un système qui rendrait nos cellulaires fonctionnels partout dans le monde, sans devoir changer la carte de reconnaissance. Au fil des années, plusieurs améliorations pourront être constatés, en vue de toucher bien sûr, la perfection de la technologie de la téléphonie mobile.

Hou-Hou Blogue, (sans date),[en ligne], page consulté le 1 décembre, URL :http://houblog.net/article/1462-canada-recours-collectif-contre-les-compagnies-de-cellulaire
Le blogue du québécois libre, (sans date), [en ligne], page consulté le 1 décembre , URL :http://www.leblogueduql.org/2007/11/cellulaire-au-v.html
Healthy public policy, (sans date), [en ligne], URL :http://www.healthypublicpolicy.ca/docs/JMDK_cellulaire_INSPQpdf.pdf

dimanche 18 octobre 2009

La Webtélé? Pourquoi pas...

La dernière mode au niveau de la communication à avoir fait son apparition dans la dernière année est la Webtélédiffusion, plus communément appelée la Webtélé. Il faut cependant savoir que ce titre est loin d’être officiel, étant nommé de différentes façons selon le domaine. Par exemple, dans le domaine des communications, on parle de rich-media. Donc, la webtélé « permet aux internautes de regarder une chaîne de télévision en ligne, de la même manière que les webradios permettent d’écouter les radios » (Techno-Science.net). C’est aux États-Unis que la première Webtélé a été diffusé, en 1998. Bien sûr, celle-ci ne ressemblait pas à ce que nous pouvons trouver sur Internet aujourd’hui, plus de 10 ans après. Le principe de la WebTélé est d’utiliser la technologie du streaming ou le téléchargement progressif pour diffuser ses contenus. C’est par un flux vidéo que les clients regardent les vidéos à partir de leur navigateur ou d’un lecteur multimédia tel Windows Media Player. La plupart des chaînes de télévision se sont maintenant dotées de Webtélé, facilitant ainsi l’accès des clients à leur émission préférée, à l’heure qu’il leur convient. Dans le texte suivant, nous verrons le lien qu’il y a entre la technologie de la Webtélé et le domaine des communications, ainsi qu’un exemple de son utilisation dans ce même domaine. Suivront une critique et une réflexion sur les dérives possibles de la Webtélé.

Les Chroniques d'une mère indigne sont diffusées uniquement sur le Webtélé de Radio-Canada.




Au niveau du domaine des communications, le Webtélé est une technologie innovatrice, qui pourrait faciliter le travail de plus d’un professionnel de ce domaine. En communication, nous nous devons de communiquer une information, de façon efficace. Être à la dernière mode dans la technologie, c’est la façon la plus efficace de le faire. C’est avec la Webtélé, ou le rich-media, que nous pouvons arriver à effectuer notre communication auprès de différents groupes efficacement en se servant d’internet. Avec cette technologie, nous pouvons ajouter des informations interactives visuelles à un contenu audiovisuel sur nos sites web, qui peuvent parfois sembler ennuyeux. « La principale innovation réside dans le fait que ces informations peuvent être synchronisées avec le contenu de [votre] vidéo; cela se révèle très utile dans le cas d’un film de formation par exemple, ou de présentation de produits. Ainsi grâce au rich-media, [vous] retransmettez avec une grande qualité d’image et de son un évènement important de votre société, afin de le rendre accessible à tous. » (Histoire d’entreprise) Ainsi, avec la Webtélé, l’interaction devient meilleure entre le récepteur et l’émetteur, ce qui rend la communication beaucoup plus efficace, et plus attrayante pour le récepteur. Cette technologie peut être efficace au niveau de la communication autant au sein des relations publiques, en journalisme ou en publicité. Les entrevues, les publicités, des vidéos stratégiques de campagnes électorales ne sont que quelques exemples d’éléments qui peuvent être diffusés sur des sites où l’on retrouve la webtélé. C’est une nouvelle façon de faire connaître le travail qui se fait en communication publique.

Depuis 2003, nous pouvons retrouver sur Internet la Webtélé du gouvernement suisse. Bien sûr, depuis ce temps, la webtélé a beaucoup évolué, mais le concept est le même. On y retrouve la retransmission en direct, puis en rediffusion dans les archives, des conférences de presse du Conseil fédéral. En mars 2009, le site se met à jour au niveau de la technologie de la web télé et offre aux citoyens le meilleur service visuel qui soit.
La retransmission en direct des conférences de presse du Conseil fédéral fait peau neuve et prend ses nouveaux quartiers sur le site http://www.tv.admin.ch/. Bénéficiant d'une image de meilleure qualité, d'une disponibilité accrue et d'une interface simplifiée, les internautes se sentiront encore plus au coeur des événements lorsque le gouvernement communiquera ses décisions. (Communication Romande, 2009)


Voici un exemple de mise en page que l'on peut retrouver sur le site d'une Webtélé.
Pour un citoyen, pouvoir assister à ces rencontres, avoir l’impression d’y assister est un gros avantage lorsque celui-ci s’intéresse à la vie politique de son pays. Du côté des relations publiques, ce site est une innovation qui changera le monde de la politique. Une nouvelle façon de diffuser les rencontres importantes, les débats, les grands évènements. En plus d’avoir une façon de plus de transmettre l’information, avec le site du gouvernement, ce sont les relations publiques du gouvernement qui décide de quelles façons diffusées et quelles parties de la rencontre ou de l’évènement en question diffuseront-ils. Cela est meilleur que le téléjournal, puisque les relations publiques ont le contrôle entier sur ce qui sera diffusé. On s’assure de cette manière de n’avoir aucune mauvaise publicité pour la personnalité publique.

L’opinion publique face à la webtélé est loin d’être unanime, mais la plupart s’entendent pour dire que la webtélé « est un lieu qui rime avec liberté. » (Le droit, 2009) Pourquoi ? Et bien, parce qu’avec la webtélé, nous pouvons faire fit des règles qui sont imposées à la télévision. La diffusion d’émission sur le web, mis à part les droits d’auteur pour certaines émissions déjà diffusées à la télévision, n’est toujours pas réglementée. Et c’est ce qui plaît aux gens. Ils peuvent enfin voir ce qu’ils ont envie de regarder puisqu’il existe maintenant des sites de webtélé traitant de sujets tout aussi disparate que le « skate-board » et la cuisine.

Plusieurs s’entendront également pour dire que la webtélé leur apporte un autre genre de liberté. Celle de regarder leurs émissions de télévision à n’importe quel moment de la journée. Puisque les horaires des travailleurs sont de plus en plus chargés, ceux-ci sont de moins en moins capables de regarder les émissions désirées à l’heure de leur diffusion à la télévision. Avec la webtélé, ils peuvent la regarder lorsque bon leur semble. De plus, ces émissions sont diffusées pour la plupart sans publicité, ce qui rend l’expérience encore plus agréable. « Pourquoi payer pour un abonnement avec le câble vous diront certains. L’ordinateur a pris la place du petit écran pour écouter la télévision ». (QuebecTop.com, 2009) Ce qui nous amène à présenter la crainte de certains téléspectateurs : La télévision aura-t-elle tendance à disparaître pour laisser place à cette nouvelle technologie de diffusion? Nous croyions que la radio disparaîtrait lors de la venue de la télévision. Est-ce que ce fut le cas? Et bien peut-être est-ce la même chose pour la télévision aujourd’hui…

Les avantages du rich-media sont nombreux pour les groupes socio-économiques du monde entier. Grâce à la webtélé, ceux-ci auront beaucoup plus de visibilité au sein du grand public et la tâche leur sera facilitée lorsque viendra le temps de diffuser des messages de sensibilisation ou lors de campagnes de financement pour les organisations. C’est une visibilité à l’allure internationale qui leur est offerte sur un plateau d’argent, il serait ridicule de ne pas en profiter. À mon avis, il ne s’agit plus de dérives possibles, mais de dérives ayant déjà vu le jour, puisque le webtélé est déjà une dérive de la webradio. Les images ont été ajoutées aux mots. Ainsi, nous nous sommes retrouvés à écouter la radio sur le web un jour, à évoluer à regarder quelques émissions spécifiques de différente station de télévision sur Internet, ensuite à un horaire exactement semblable à celle présentée à la télévision, puis finalement, au bout de l’évolution de la technologie, à regarder des émissions qui sont uniquement diffusées sur le web, par exemple les Chroniques d’une mère indigne à Radio-Canada. Je crois que c’est dans cette voie que nous nous dirigeons, celle de la seule et unique émission de webtélé.


Bibliographie

Branchez-vous.com, Google se lance dans la webtélé ,[En ligne],(1 juillet 2008), URL : http://techno.branchez-vous.com/actualite/2008/07/google_se_lance_dans_la_webtel.html (page consultée le 14 octobre 2009)

Confédération Suisse, Confédération suisse ,[En ligne],(sans date) URL : http://www.tv.admin.ch/de/live (Page consultée le 16 octobre 2009)

Ditoo, qu'est-ce qu’une web Tv? [En ligne], (15 janvier 2008), URL : http://blog.diwi-tv.com/?p=33 (Page consultée le 14 octobre 2009)

Fono, Webtélé : Quelques principes simples pour faire augmenter le nombre de visionnements ,[En ligne], (9 mars 2009), URL : http://fono.ca/2009/03/09/webtele-quelques-principes-simples-pour-faire-augmenter-le-nombre-de-visionnements/ (Page consultée le 14 octobre 2009)

Gralon, WebTv,[En ligne], (26 juillet 2007), URL : http://www.gralon.net/articles/news-et-media/television/article-web-tv-624.htm (Page consultée le 15 octobre 2009)

Histoire d’entreprise,WebTv,[En ligne], (sans date), URL : http://www.histoiredentreprise.com/communication_institutionnelle/web_tv.html (page consultée le 13 octobre 2009)

Janin, Mathieu, « Rapprocher le gouvernement des citoyens avec web-tv», Communication Romande [En ligne], (23 mars 2009), URL : http://communicationromande.ning.com/profiles/blogs/rapprocher-le-gouvernement-des (Page consultée le 13 octobre 2009)

Christined, « Fin de la télé traditionnelle?», QuébecTop.com,[En ligne],(23 février 2009),URL : http://www.qctop.com/articles/web-tele.htm (Page consultée le 13 octobre 2009)

Techno-Science,WebTv,[En ligne],(sans date) URL : http://www.techno-science.net/?onglet=glossaire&definition=7409 (Page consultée le 13 octobre 2009)

Turcot, Geneviève, «Quand la webtélé décoiffe la télé…»,Le droit,[En ligne],(13 mai 2009),URL : http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/200905/11/01-855485-quand-la-webtele-decoiffe-la-tele.php (page consultée le 12 octobre 2009)

Wikipédia,WebTv,[En ligne],(sans date), URL : http://fr.wikipedia.org/wiki/Web_TV (Page consultée le 12 octobre 2009)

vendredi 18 septembre 2009

D'après vous, les technologies d'information sont-elles déterminantes dans le développement de nos sociétés?

Déterminantes dans le développement de nos sociétées, les technologies de l'information évoluent plus rapidement que n'importe quelles technologies. De nos jours, l'information circule à une vitesse fulgurente,et ce, partout à travers le monde. Donc bien sur, elles sont déterminantes dans notre développement.Aussi, elles jouent un rôle important au niveau du gouvernement, qui les gardes à l'oeil tout en les utilisant à son avantages, comme chacun d'entre nous.

Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, en ligne, consulté le 18 septembre 09
URL : http://www.tbs-sct.gc.ca/pol/doc-fra.aspx?id=12755&section=text

Qu'est-ce que le déterminisme technologique ?


Le déterminisme technologique est définit comme étant un courant de pensée de la sociologie des techniques. Dans une perspective déterministe, « on suppose que le changement technique est un facteur indépendant de la société. D'une part, le changement technique est autonome [...]. D'autre part, un changement technique provoque un changement social » (Vink, Sociologie des sciences, 1995 : 232).

Ce qui veut dire que selon le courant déterminisme, la technologie déterminerait l'avenir de notre société. Cependant, cette affirmation est très mitigée même par les représentants du courant déterminisme. Certains pensent que les technologies sont indépendantes de la société à part entière et vice-versa.

Bien sûr, les technologies influencent notre mode de vie, la façon de faire les choses les plus banales de notre vie change selon la technologie. Mais je ne crois pas qu'elles mènent le développement de la société. Par exemple, la fibre optique (illustrée ci-dessus) est une technologie qui à changé plusieurs domaines. La découverte de cette technologie changea les façons de faire dans les transports d'informations entre autres.

Bibliographie:
Dominique Vinck, 1995, Sociologie des sciences, Armand Colin, p. 232

Wikipédia : Le déterminisme technologique, en ligne, consulté le 18 septembre 09
URL: http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9terminisme_technologique#cite_note-0